PILLONAGE INTENSE ET DELUGE DE JUS
COCKSUCKER et DEEPandROUGHT passent au hardcore après une pipe légendaire. Dans un box désaffecté, COCKSUCKER, icône vivante, exhibe sa chatte poilue hallucinante – une jungle noire trempée, fion rose qui pulse, un terrain de jeu si bandant qu’on s’y noie direct – et avale la teub monstrueuse de DEEPandROUGHT, une queue raide, épaisse, veinée de ouf, un marteau-pilon prêt à tout exploser. Gorge éclatée, bave en cascade, l’ambiance sent le sexe pur. Sur une chaise bancale, COCKSUCKER écarte sa chatte divine, juteuse à souhait ; DEEPandROUGHT y balance un gros mollard gluant, puis enfonce sa bite colossale bareback d’un coup sec10, la pénétration hot plongeant dans ce paradis poilu, si parfaite qu’on s’y sent chez soi, les couilles pleines claquant contre cette touffe mouillée. Et puis, sur un matelas , défoncé par le temps, couvert de taches douteuses, COCKSUCKER se cambre, cul en l’air, chatte grande ouverte – un trou rose luisant, bordé de poils noirs gorgés de mouille, qui palpite de désir. DEEPandROUGHT, bite dressée comme un roc, agrippe ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans la peau moite, et la pénètre d’un coup , sa queue énorme s’enfonçant jusqu’à la garde dans ce nid chaud et trempé. Les parois de cette chatte l’enserrent, sucent sa teub comme une ventouse vivante. Il la baise sans relâche, chaque coup de reins est un uppercut, profond, sauvage – le bruit mouillé de sa touffe poilue qui gicle à chaque impact, les couilles lourdes qui claquent contre son cul, laissant des traces rouges sur sa peau frémissante. Le matelas gémit sous les assauts, les ressorts pétés grincent à chaque poussée, tandis que COCKSUCKER encaisse, le cul secoué, la chatte dégoulinante de jus qui coule en filets épais sur ses cuisses. DEEPandROUGHT accélère, sa bite gonflée à bloc racle chaque recoin de ce trou béant, le gland cognant le fond comme un bélier, les veines saillantes frottant les parois trempées. Il la pilonne, alternant les angles, écartant encore plus cette chatte poilue avec des doigts experts, exposant son intérieur rose et luisant. La sueur perle, les corps claquent, le matelas s’affaisse sous leur poids, et COCKSUCKER hurle, le cul offert, la chatte palpitante qui en redemande, les lèvres gonflées et rouges d’excitation. DEEPandROUGHT la démonte jusqu’à la limite, sa queue titanique grognant à chaque coup, puis se retire d’un coup sec, la bite luisante, dégoulinante de mouille, et se branle au-dessus d’elle. COCKSUCKER, à genoux, langue pendante, attend la récompense. Le premier jet de sperme jaillit, épais, brûlant, et lui éclabousse le visage – une giclée blanche qui lui barre le front, dégouline lentement sur ses joues. DEEPandROUGHT grogne, sa queue pulse, un deuxième jet lui peint les lèvres, coulant dans sa bouche, salé et gluant, pendant qu’un troisième lui arrose les paupières, collant ses cils dans une mare de foutre. Le sperme dégouline en cascades chaudes sur son menton, son cou, tandis que COCKSUCKER, sublime, trempé, lèche ce qu’il peut, le visage inondé sous ce déluge crémeux.